Avant-Propos : Pourquoi fait-on ça ?
Plumavitae est une société qui rémunère des bêta-lecteurs à travers le monde entier pour critiquer des primo-auteurs puis met en relation les artistes aux œuvres mâtures avec leurs éditeurs partenaires.
Et souvent les Auteurs ou les Brigadiers échangent et débattent sur pas mal de thèmes. Comme j’aime le dire, « qui mieux que les Lecteurs pour dire ce qu’ils veulent lire ? » C’est pourquoi, plutôt que de rester avec nos interrogations, toutes les semaines on vous interroge afin de nourrir le débat et progresser.
Tout est clair ? C’est parti !
Résultat : oui, car à la différence d’autres domaines, il y a de nombreux versants du livre dont on ne sait rien
C’est quoi un podcast, pour commencer ?
Afin de bien comprendre l’étude, nous allons définir clairement le mot. “Le podcast audio désigne un type d’enregistrement, de son, voix ou musique. À la différence des médias traditionnels, qui eux-mêmes l’utilisent de plus en plus, le podcast audio est disponible à tout moment et n’importe où tant que l’on dispose d’un lecteur ou agrégateur de flux. Il n’est donc plus nécessaire d’être présent pile au moment de la diffusion.” (Source : Podcast France)
De ce fait, nous avons écarté les émissions de radios ou les vidéos YouTube que l’on appelait à un moment podcast.
En termes de chiffres, Variety reportait début 2020 deux millions de podcasts enregistrés sur Google et 750 000 sur Apple Podcasts. Ceux-ci se déclinent en un catalogue de 29 millions d’épisodes dans plus de 100 langues différentes. (Music Oomph)
Mais en comptons-nous tant que ça en France ? Et dans la littérature ? On vous a posé la question !
Pour #1 : c’est un bon moyen de donner la parole aux personnes derrière les livres souvent difficilement à aborder
Bon, j’avoue, c’est mon avis ! Je suis un grand fan de podcast. Et si vous nous suivez sur les réseaux sociaux, vous avez sûrement dû voir des posts au sujet de Primo et d’Alexandra Ughetto. Mais qu’est-ce que Primo ? Si tu t’intéresses à ce qui se passe une fois qu’on envoie un manuscrit à un éditeur, je te laisse le découvrir et l’écouter ! D’ailleurs, Nouvelles Ecoutes, Robert Laffont, si vous nous lisez, ça serait cool un épisode spécial un an après, je dis ça ! 😉 (vous ai-je dit que j’étais fan de podcasts ?)
Pour #2 : ça se consomme comme une série et peut donner lieu à de belles initiatives
De plus en plus de personnes adoptent le livre audio pour sa praticité, notamment pour la vitesse de lecture ou juste la possibilité de faire autre chose en parallèle.
Mais connaissez-vous la lecture fractionnée ? C’est Alain C., un auteur de nouvelles qui s’est lancé le défi de faire écouter ses nouvelles comme une série audio. Ecriture, enregistrement en studio et mise ligne, il fait tout lui-même pour notre plus grand plaisir !
On a aussi de nombreux auteurs qui racontent leurs galères et leurs victoires comme Le Typoteur de l’audacieuse Christelle Lebailly ! Tu ne connaissais pas ? Go go go !
Pour et Contre : oui, mais il faudrait de la variété
“On pourrait parler des livres régionaux (je viens de Bretagne, et ils sont très populaires, on trouve à la fois du policier, du roman noir, de l’historique), du transmedia ou du crossmedia, des livres basés sur des licences…” – Irvin
Contre #1 : je suis pour mais je n’en écoute pas (pour le moment)
Ce dernier avis peut nous interroger sur la consommation des podcasts parmi la communauté des amoureux du livre. Et si, tout comme le livre numérique rentre doucement dans nos bibliothèques, le podcast peine encore à concurrencer nos livres quand on a un temps ? A vous la parole !
RDV Mardi prochain pour d’autres résultats !
Tu veux avoir l’avis des autres sur ton texte ou donner ton avis ? On te dit tout !
Non, Plumavitae n’est pas un centre de sondage, mais une société qui accompagne les Auteurs de la rédaction jusqu’à la mise en relation avec des éditeurs. Comment ? En formant et rémunérant une communauté mondiale de Bêta-Lecteurs.
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Kev’Angi le Tyran
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